Lorenza Ghinelli

Heureusement que le chien, lui, est un type bien


Chronique de Mélanie Blossier

Librairie Doucet (Le Mans)

C’est enfin l’été dans une petite ville d’Italie. Jeux vidéo, après-midi entre copains : Massimo a tout un programme de prévu pour les vacances. Ainsi commence Heureusement que le chien, lui, est un type bien, le roman de Lorenza Ghinelli. Massimo ne le sait pas mais il est sur le point de vivre un été inoubliable, perturbé par Vito, la brute du collège qui fait de lui son souffre-douleur, ainsi que par un couple de nouvelles voisines qui vont faire jaser tout leur immeuble. Mais Massimo n’est pas le seul héros de cette histoire. Tous ses amis, ses voisins, même sa petite sœur vont participer à ce roman choral aussi drôle qu’émouvant. L’auteure n’hésite pas à parler de l’adolescence dans toute sa complexité. Entre les complexes physiques, l’identité sexuelle, la puberté et les relations familiales, il y a beaucoup de choses à raconter. Avec justesse, sensibilité et humour, l’auteure nous livre des histoires qui parleront à beaucoup de lecteurs.