Timothée de Fombelle

Esther Andersen


photo libraire

Chronique de Valeria Guédra

L’été est là et un jeune garçon prend le train, comme tous les ans, pour rejoindre son oncle à la campagne. Rien n’a changé et le présent ressemble au passé. Oncle Angelo est toujours aussi bavard et le vieux vélo rouge l’attend. Il est temps d’explorer ces lieux maintes fois parcourus et de savourer l’été qui s’étire en longueur. Et puis, un jour, notre jeune héros se trompe de route en pédalant, le chemin devient sable et l’océan est à perte de vue. C’était là, tout près et il ne le savait pas ! Les vacances prennent une autre dimension. Dans l’eau, au loin, il l’aperçoit, les pieds dans le sable. Une voix autoritaire l’appelle : « Esther Andersen ! Come home immediately ! ». Alors l’amour porte un nom ? Timothée de Fombelle, ce conteur sensible, sait particulièrement bien manier les mots pour raconter l’enfance. Un album au doux parfum des souvenirs, sublimé par les illustrations à l’aquarelle d’Irène Bonacina.

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