Kinga Wyrzykowska

De nos propres ailes


photo libraire

Chronique de Pauline Kermanach

Librairie Livres in room (Saint-Pol-de-Léon)

De nos propres ailes est bien plus qu’un roman sur le sport. C’est un roman sur l’amitié, la tolérance et la passion.

L’équipe féminine de volley du lycée Saint-Exupéry de Mallarmeuil vient de réaliser son rêve : remporter le match qui lui ouvre les portes de la coupe nationale Heaven. Les filles sont surexcitées, fières de leur victoire et surtout heureuses à l’idée de s’envoler pour la Désirade afin de disputer la compétition. Julie, Nejma, Morgane, Tina, Andrea et Milena partagent la même passion depuis plus de cinq ans et sont aussi proches à la ville que sur le terrain. Alors quand Gladys rejoint l’équipe en début d’année, l’intégration n’est pas facile, même en redoublant d’efforts. Mais aujourd’hui, l’heure est à la fête et la troupe de volleyeuses est sur un petit nuage. En quittant le gymnase pour aller prendre le RER, Tina trébuche et tombe. Le verdict des médecins est sans appel. Elle devra porter plâtre et attelle pendant un bon mois, puis suivre une rééducation de trois mois. Tina ne pourra pas jouer lors de la coupe, ni assister à la compétition puisque le budget ne le permet pas. C’est un coup dur pour l’équipe. Cependant Julie, la capitaine, a trouvé la solution. Elle organise une collecte pour que leur amie vienne les encourager. Chacune mettra ce qu’elle voudra ou ce qu’elle pourra, de sorte que l’enveloppe finisse par contenir le prix d’un billet aller-retour pour la Guadeloupe. La situation dérape lorsque la cagnotte est volée par l’une des membres de l’équipe. Laquelle et pourquoi ?